mercredi 12 décembre 2012

EPR : vers la fin faute de moyens ?


Greenpeace nous informe. "La crise" ne saurait être sans effets sur le nucléaire ! Sans volonté politique le recul sur les centrales se fera à contre cœur au lieu d'être compensé par la recherche d'autres  technologies assurant notre autonomie énergétique.  Il est temps pour les citoyens de comprendre et de dire que le social ne sera pas préservé par l'abandon écologique mais, au contraire, que la crise sociale et la crise écologique sont identiques et reposent sur une "non-crise" : la mutation de société à laquelle les puissances financières ne se résignent pas.

Europe : EPR cherche partenaire particulier


De http://energie-climat.greenpeace.fr/europe-epr-cherche-partenaire-particulier?utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_term=nucleaire&utm_campaign=GPFnewsletter11122012

Lundi 3 décembre, EDF annonçait, dans un communiqué, un nouveau surcoût pour l’EPR de Flamanville qui devrait, pour l’heure, coûter 8,5 milliards d’euros. Suite à cette annonce, Enel, électricien italien a annoncé vouloir abandonner sa participation dans le projet EPR Flamanville 3, réclamant ses billes, soit 613 Millions d’Euros…
Cette actualité récente n’est en fait qu’un nouvel épisode d’une série de déconvenues pour le réacteur EPR en Europe. Depuis quelques mois, les actionnaires et partenaires des différents projets se retirent les uns après les autres, laissant la France de plus en plus seule à porter le projet : à travers ses acteurs industriels (EDF & Areva), et à travers ses finances publiques… et donc ses contribuables.


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