Greenpeace nous informe. "La crise" ne saurait être sans effets sur le nucléaire ! Sans volonté politique le recul sur les centrales se fera à contre cœur au lieu d'être compensé par la recherche d'autres technologies assurant notre autonomie énergétique. Il est temps pour les citoyens de comprendre et de dire que le social ne sera pas préservé par l'abandon écologique mais, au contraire, que la crise sociale et la crise écologique sont identiques et reposent sur une "non-crise" : la mutation de société à laquelle les puissances financières ne se résignent pas.
Europe : EPR cherche partenaire particulier
De http://energie-climat.greenpeace.fr/europe-epr-cherche-partenaire-particulier?utm_source=newsletter&utm_medium=email&utm_term=nucleaire&utm_campaign=GPFnewsletter11122012
Lundi 3 décembre, EDF annonçait, dans un communiqué, un nouveau surcoût pour l’EPR de Flamanville
qui devrait, pour l’heure, coûter 8,5 milliards d’euros. Suite à cette
annonce, Enel, électricien italien a annoncé vouloir abandonner sa
participation dans le projet EPR Flamanville 3, réclamant ses billes,
soit 613 Millions d’Euros…
Cette actualité récente n’est en fait qu’un nouvel épisode d’une
série de déconvenues pour le réacteur EPR en Europe. Depuis quelques
mois, les actionnaires et partenaires des différents projets se retirent
les uns après les autres, laissant la France de plus en plus seule à
porter le projet : à travers ses acteurs industriels (EDF & Areva),
et à travers ses finances publiques… et donc ses contribuables.
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